LA DÉFENSE Votre futur. Notre mission. (2024)

Table of Contents
A propos du F-35A A, B ou C ? Collaboration internationale 2023 : premier F-35A Engagement commun Production Moteur F135 Génération smartphone Furtivité Frontline fighter « Mode Beast » Sensor fusion Data fusion Battlespace commander Chronologie Concepts et activités Nos missions Europe de l'Est Mali Belgique : SEDEE le Benelux : QRA Moyen-Orient Plus qu'un job, une mission. Le travail d'un ICT à la Défense est de plus en plus digitalisé. [Missions à l'étranger] Tu approfondis tes connaissances et apprends à te rendre compte que finalement, tu ne manques de rien. A partir du moment où on n'a pas confiance dans le personnel avec lequel on travaille, ça n'ira pas. C’est un job dans lequel il y a des missions mais c’est avant tout une passion. Parce qu’on ne peut pas faire ça si on n’est pas passionné. Parmi mes collègues, j'ai essentiellement des amis. J'avais besoin d'un cadre et de discipline dans ma vie, ce qu'on retrouve évidemment à la Défense. Une femme à la Défense ? Cela n'a rien d'anormal. Je n'aurais jamais vécu ce que j'ai vécu dans l'aviation civile par rapport à ce que j'ai vécu à la Défense. Un moment mémorable, c’est quand j’ai été hélitreuillé du pont pour voir le navire et la mer d’en haut. Ce sont des images uniques. Je savais que je voulais faire ça déjà depuis tout petit. La Défense offre beaucoup plus de possibilités qu'il n'y paraît à première vue. Après mes études à l'Antwerp Maritime Academy j'ai choisi la Marine. Ma motivation, c'est la réalisation de mon rêve d'enfant, qui était de voler avec les avions de chasse. La meilleure raison pour rejoindre la Marine, c'est que vous avez aussi un grand nombre d'escales qui vous permettent de voir beaucoup de pays. Être para-commando, c'est un grand défi, pas toujours facile, et une expérience de vie, c'est pour ça que je le fais. [Missions à l’étranger] C'était une super expérience d'être un maillon qui contribue à la paix dans le monde. Pour moi, c'était un grand pas de passer de coiffeuse à militaire. Mais jusqu'ici, je n'ai aucun regret. Je n'aimerais pas être derrière un bureau. Pour des jeunes qui n'aiment pas rester en place, la Défense est idéale. Le diplôme n'est pas le plus important. Il faut constamment se remettre à jour, apprendre et rester curieux. La motivation qui m'a poussé à m'engager au sein de la Défense, c'était de pouvoir venir en aide aux gens qui en avaient besoin. Les jeunes qui viennent à la Défense vont évidemment devoir relever un défi. Ils vont vivre des tensions et des sensations. La Défense c'est un des seuls employeurs du secteur public qui va permettre à un juriste de travailler sur des dossiers vraiment originaux, vraiment variés. Tous les métiers que l'on retrouve dans le civil sont présents à la Défense. Pouvoir voler avec le type d’avion sur lequel tu travailles, est toujours une super expérience et, bien sûr, une vraie motivation. Dans la formation de base on a appris la vie militaire avant tout. On a eu l’esprit de camaraderie qui était très présent. Même dans les moments durs, j'ai eu la chance d'avoir des collègues formidables. J'ai fait mes études en dentisterie via la Défense. L'anglais est très important pour un technicien en mécanique aéronautique. Sous l'eau, on est seul avec son pote. Pas de bruit. On a moins de souci. J'ai fait des études d'ingénieur civil à l'École Royale Militaire. J'y étais payé pour étudier. J'ai choisi la Défense pour un bon salaire, une bonne pension et de bonnes conditions de travail. Si vous mangez bien, vous êtes aussi nettement plus heureux. Les para-commandos sont une famille. Une fois que tu en fais partie, tu as véritablement des camarades pour la vie. [Missions à l’étranger] C'est partir découvrir d’autres cultures, d’autres nations, pour une bonne cause et vivre une expérience unique. Je trouve très important que les civils participent à la Défense. Nous sommes payés pour étudier, ce qui est très intéressant. C'est à Den Helder (Pays-Bas) que nous suivons la plus grande partie de notre formation. On voyage énormément, que ce soit dans ou en dehors du territoire belge. Ce n’est pas un métier, c’est une mission, même plutôt une passion. C’est un métier qu’il faut faire avec tout son cœur. En 2013, j'ai participé à une opération anti-piraterie où nous avons mis la main sur des pirates. On a beaucoup de responsabilités en tant que militaire. J'y ai trouvé une seconde famillie et j'en suis plus que ravi. J'ai suivi une formation de mécanicien automobile. Je recherchais quelque chose de plus exclusif, et je suis arrivé à la Défense. [La formation] Avec les épreuves qu'on passe ensemble, on en sort soudé et on se crée des amis pour la vie. Ce n’est pas parce qu’on est une femme qu’on est plus faible. Il suffit juste de montrer ce qu’on sait faire. Il est important que tu puisses travailler en équipe. Tout ce qui se trouve dans l'air et vole est une passion pour moi, et m'intéresse. Moi, je suis civil, mais je bosse pour la Défense. On peut voir et vivre beaucoup de choses en mer. [Missions à l'étranger] Ça arrive d'avoir le mal du pays mais nous sommes tous là entre collègues et entre amis. C’est beaucoup plus qu’un métier. Il y a pas mal de moments dans l’année où on est militaire 24 hr sur 24. J'ai suivi mes études dans le civil, mais aux frais de la Défense. Je voulais de l'aventure et c'est une sensation que l'on trouve en mer. Les possibilités d'avancement sont très nombreuses ici. En tant que réserviste, on est très apprécié, les militaires savent bien que l'on fait ce travail en plus de son job normal. J'ai vraiment eu un frisson au moment où mon grand-père m'a remis mon béret.

La Défense

L'évolution de la Défense

Equipements & matériels

Fort Worth, Texas (VS) - Lockheed Martin développe à un rythme soutenu la dernière génération d'avions de combat, le F-35 Lightning II. La Belgique en a commandé un total de 34. Pas moins de douze pays ont acheté le F-35. Huit d'entre eux sont des alliés de l'OTAN. Nous disposerons ainsi bientôt ensemble de la capacité de défense aérienne la plus intégrée et la plus avancée au monde. Jetons un coup d'œil sous le capot et voyons ce que ce chasseur furtif a à offrir en termes de nouvelles technologies.

A propos du F-35A Chronologie Concepts et activités

Nos ambitions L'évolution des équipements et matériels

A propos du F-35A

A, B ou C ?

Le F-35A est le pur chasseur-bombardier opérant depuis une base aérienne et s'inscrit dans la lignée de l'actuel F-16. C'est cette variante que le gouvernement belge a achetée, tout comme les gouvernements néerlandais, danois et norvégien, entre autres. Le F-35B est la version qui permet un décollage et un atterrissage (vertical) courts. Ces avions sont embarqués sur des porte-avions légers équipés d'une plate-forme jump jet. Enfin, il y a le F-35C, spécialement conçu pour les appontages arrêtés et les catapultages sur un porte-avions classique. En outre, cette variante est dotée d'ailes repliables.

Collaboration internationale

Le développement d'un chasseur bombardier de cinquième génération a commencé il y a presque trente ans avec le programme Joint Strike Fighter. Le gouvernement belge a décidé de ne pas participer au développement du F-35 et de ne choisir que plus tard, par le biais de son propre appel à la concurrence, un successeur au F-16. Au final, il s'est avéré que le F-35 était encore le meilleur choix. Un investissem*nt de 3,8 milliards d'euros a été prévu pour l'ensemble de la nouvelle capacité constituée autour de 34 exemplaires du F-35.

2023 : premier F-35A

Les premiers exemplaires destinés à la Belgique devraient être livrés dès 2023. Nous rejoindrons dès lors le cercle des utilisateurs de F-35 dans l'OTAN. Nous avons déjà eu, historiquement, des partenariats très forts avec un certain nombre de ces pays. En effet, nous avons déjà collaboré depuis plusieurs décennies avec les European Participating Air Forces (EPAF) pour développer et mettre en service les F-16. De plus, grâce au concept de l'European Air Wing (EAW), nous pouvons participer à des missions communes à l'étranger.

Engagement commun

Le F-35 nous permettra donc, avec nos alliés, de déployer nos ressources aériennes de la même manière intégrée, en coopération avec d'autres forces armées (conjointes) et dans un contexte OTAN, UE ou coalition. Nous pourrons ainsi défendre les intérêts de la Belgique partout où le gouvernement aura besoin de nous.

Production

Le F-35A prend forme sur une ligne de production de 1,6km de long à Fort Worth aux États-Unis. La construction d'un seul avion demande un total de 58000 heures-hommes. Le jet est notamment doté d'un revêtement avancé destiné à empêcher la détection par les radars ennemis. Un apprêt vert luminescent est appliqué sur une base de panneaux d'aluminium et de titane. Vient ensuite s'y ajouter une couche absorbant les ondes émises par les radars. Ce revêtement RAM est un composite à base de polymère conçu pour absorber l'énergie des ondes électromagnétiques.

Moteur F135

Le moteur F135 du F-35A est le plus puissant moteur intégré à un avion de chasse à ce jour. La vitesse de pointe est d'environ 1 900 km/h. À première vue, cela semble moins que le F-16, mais le F-35 le fait avec de l'armement et des capteurs, alors qu'en pratique, ceux-ci limitent la vitesse de pointe du F-16. Une combinaison inégalée de puissance, de capteurs et de capacité de traitement confère donc à cet avion la supériorité nécessaire.

Génération smartphone

Le co*ckpit du F-35A est une évolution du concept de glass co*ckpit. Adieu les écrans, bienvenue dans l’ère des technologies du 21e siècle. Les instruments de bord sont intégrés virtuellement dans un double écran tactile de 50cm sur 20cm. Leur disposition est totalement adaptable et axée sur les futurs utilisateurs: de jeunes pilotes qui ont grandi avec un smartphone à la main.

Furtivité

Sur le F-35A, toutes les techniques possibles permettant de rendre l'avion peu détectable (low observability) ont été appliquées simultanément. Par exemple, l'appareil transporte son armement et ses capteurs à l'intérieur, ce qui rend son fuselage lisse et élancé. De ce fait, l'avion réfléchit beaucoup moins le signal radar hostile. De plus, les émetteurs embarqués peuvent émettre très discrètement. Une attention particulière a également été accordée à une finition très lisse des surfaces, à des antennes parfaitement intégrées et à des constructions géométriques spéciales, par exemple aux entrées d'air, afin de rendre l'image radar la plus petite et discrète possible.

Frontline fighter

Rester invisible pour les systèmes radar ennemis est particulièrement important dans la première phase d'un conflit. Ensuite, la priorité consiste à pénétrer dans le système de défense aérienne de l'adversaire. L'une des principales tâches du F-35A est de neutraliser les systèmes sol-air de l'adversaire, et donc de s'assurer ainsi une supériorité aérienne. Bien sûr, un avion de quelque 16mètres de long n'est pas invisible au sens littéral du terme, mais si les systèmes de détection ennemis ne détectent pas l'avion, il l'est donc en pratique. Cela ouvre bien sûr la voie à d'autres possibilités et tactiques que notre Composante Air n'a pas été en mesure de déployer jusqu'à présent. Pourquoi, par exemple, prendre le risque d'un combat aérien et dévoiler sa présence? On peut également choisir d'éviter un combat aérien et de poursuivre la mission prévue, ou, par exemple, de se concentrer uniquement sur la reconnaissance.

« Mode Beast »

Pour les missions où les propriétés furtives sont moins nécessaires, le F-35A peut être utilisé en mode «beast». Cela signifie que l'avion porte des munitions supplémentaires sous le fuselage et les ailes.

Sensor fusion

Enfin, ce qui fait du F-35A un appareil inégalé, c'est qu'il donne aux pilotes une gigantesque situational awareness. Cet appareil représente un énorme bond en avant, sans précédent, dans la technologie de fusion des données des capteurs. Ainsi, le casque de réalité augmentée est un exemple typique de sensor fusion, donnant au pilote une vue sans précédent de la scène de bataille. Le casque de pilote futuriste du F-35A fait partie intégrante du système d'armement. Toutes sortes de données sont projetées sur l'intérieur de la visière, éventuellement en même temps que la vue à 360 degrés de six caméras externes. Grâce à cette vue globale, les pilotes peuvent même regarder vers le bas, à travers le plancher du co*ckpit et voir le terrain sous l'avion.

Data fusion

Le pilote ne peut pas visualiser que les données des capteurs de son propre avion. Il peut également consulter les données d'autres F-35, même si ceux-ci volent à plusieurs kilomètres de distance. Grâce à ce partage en masse des données disponibles, chaque pilote obtient une image complète de tout l'environnement de combat. Ainsi, les pilotes de F-35A ne sont jamais vraiment seuls dans le co*ckpit. Ils font partie d'un collectif virtuel, ce qui leur donne la meilleure garantie de survie et de succès sur la future scène de bataille.

Battlespace commander

Cette forme étendue de data fusion garantit aux pilotes de F-35A une plus grande liberté de pensée. Ils n'ont plus besoin de se concentrer sur chaque système de vol en particulier pour en déduire l'implication pour leur contrôle du système d'armement. La data fusion aide le pilote à avoir une vue d'ensemble et lui suggère même des tactiques. La courbe d'apprentissage tactique des pilotes augmente dès lors rapidement. Chaque pilote de ce jet de cinquième génération est en quelque sorte un véritable battlespace commander.

Chronologie

1997

La phase de démonstration du concept

La phase de démonstration du concept du programme américain Joint Strike Fighter débute. Lockheed Martin est l'une des deux entreprises sélectionnées. L'autre entreprise est Boeing avec le X-32.

Octobre 2001

Gagnant du concours

Le Lockheed Martin X-35 est le gagnant du concours et travaille avec Northrop Grumman et BAE Systems pour démarrer la production.

Février 2006

Premier prototype

Le premier prototype du F-35A sort de l'usine d'assemblage de Fort Worth, au Texas (États-Unis).

7 juillet 2006

Nom officiel

Le F-35 reçoit son nom officiel : Lightning II.

Décembre 2006

Premier vol

Premier vol du F-35.

Février 2011

Premier vol de production

Premier vol d'un F-35 de production.

Septembre 2014

Mise en place de l'équipe ACCAP

Mise en place de l'équipe ACCAP. Responsable du dossier d'achat belge pour le successeur du F-16, y compris la procédure d'allocation, la planification et les critères d'attribution.

Juin 2014

7 septembre 2017

Date limite offre initiale

Date limite de dépôt de l'offre initiale pour la prochaine génération d'avions de combat belges. En fin de compte, seuls le F-35 Program Office (F-35) et le ministère britannique de la Défense (Eurofighter) soumettent des offres. Début des négociations.

14 février 2018

Best and final offers

Date limite de soumission des best and final offers.

25 octobre 2018

Le gouvernement fédéral choisit le Lockheed Martin F-35A

Le gouvernement fédéral tranche la question dans le dossier des nouveaux chasseurs pour l'armée belge et choisit le Lockheed Martin F-35A.

Avril 2022

Annonce d’une nouvelle infrastructure

Jan De Nul S.A., en collaboration avec les bureaux de conception et de projets Arcadis et Burns&McDonnel, construira la nouvelle infrastructure du F-35A à Kleine-Brogel et à Florennes. Chaque complexe F-35A est réalisé sous la formule Design, Build & Maintain (DBM). Une première réception provisoire partielle des bâtiments de Florennes est prévue pour l’été 2024.

2023

Livraison prévue du premier F-35A

Livraison prévue du premier F-35A pour la composante air belge. Les premiers F-35A resteront aux États-Unis pour assurer la formation de nos pilotes et techniciens.

2025

Arrivée des premiers F-35A à Florennes

Arrivée prévue des premiers F-35A à la base aérienne de Florennes.

2027

Arrivée des premiers F-35A à Klein-Brogel

Arrivée prévue des premiers F-35A à la base aérienne de Kleine-Brogel.

2030

Livraison du dernier F-35A

Livraison du dernier des 34 avions F-35A commandés.

Concepts et activités

Avion de chasse multirôle

Les avions de combat multirôles, tels que le F-35A, sont capables d'effectuer à la fois des tâches de défense aérienne, de frappe aérienne, d'attaque au sol et de reconnaissance (dans la chaîne intelligence, surveillance et reconnaissance). Ces avions de combat jouent également un rôle important dans l'appui des forces terrestres en créant une supériorité aérienne et en fournissant un appui aérien direct (close air support). Ils peuvent également appuyer les forces maritimes.

Défense aérienne – quick reaction alert (QRA)

En temps de paix, l'OTAN attend de chaque État membre qu'il surveille son secteur de l'espace aérien de l'OTAN. Cela fait partie de l'autodéfense collective de l'ensemble de l'alliance. Cette mission QRA (quick reaction alert) pour l'OTAN est une tâche essentielle pour la Défense et s'inscrit dans le cadre d'une mission supplémentaire d'appui à la sécurité nationale. La composante air se fixe pour ambition de déployer deux avions de chasse pour la mission QRA. Le F-35A reprendra cette tâche lorsqu'il aura complètement remplacé le F-16 de la composante air.

High survivability

Dans un conflit moderne, où l'ennemi dispose d'un système anti-aérien récent et développé, les chances de survie d'un avion de chasse de la cinquième génération sont plusieurs fois supérieures à celles de la quatrième génération. Dans la première phase d'un conflit de ce type, la mission principale du F-35A est de pénétrer au-delà des défenses anti-aériennes sophistiquées de l'ennemi. Il y localisera et éliminera alors les menaces. Le F-35A peut le faire grâce à son caractère furtif et à la fusion des données de l'arsenal de capteurs passifs et actifs. Ceux-ci fournissent au pilote une multitude d'informations, ce qui contribue à ses chances de survie.

Appui de troupes terrestres – close air support (CAS)

Lorsqu'un conflit se poursuit et que les défenses aériennes ennemies sont détruites, le F-35A n'a plus besoin de sa capacité de survie basée sur la furtivité. L'appareil peut alors se transformer pour et accepter des charges externes importantes sur les ailes. Dans ce beast mode, le F-35 combiné peut transporter différents types de munitions : deux missiles air-air AIM-9X (sur pylônes), deux missiles air-air AIM-120 AMRAAM (dans la soute à bombes interne), quatre bombes air-sol GBU-31 de 906 kg (sur pylônes) et quatre bombes air-sol GBU-31 PGM à guidage de précision (dans la soute à bombes interne). Cette configuration beast est essentiellement destinée à appuyer les troupes terrestres sur le terrain depuis les airs : close air support (CAS).

Nos missions

Notre sécurité commence à l'étranger. C'est pourquoi des centaines de militaires donnent chaque jour le meilleur d'eux-mêmes sur les théâtres d'opération du monde entier.

Notre mission

Europe de l'Est

Les relations avec la Russie sont à nouveau tendues depuis 2014. Afin de montrer sa détermination, l'OTAN renforce sa présence en Europe de l'Est, tant sur terre (Enhanced Forward Presence) que dans les airs (Baltic Air Policing) et en mer (Standing NATO Mine Countermeasures Group). Le 24 février 2022, avec l’invasion russe de l’Ukraine, il est devenu évident que les efforts de l’OTAN ne sont pas superflus.

Notre Mission Europe de l'Est

Notre mission

Mali

La Belgique participe à deux opérations au Mali en Afrique : la mission de maintien de la paix des Nations unies (MINUSMA) et la mission de formation de l'Union européenne (EUTM).

Notre Mission Mali

Notre mission

Belgique : SEDEE

Le Service d’Enlèvement et de Destruction d’Engins Explosifs (SEDEE) a son quartier général à Oud-Heverlee. Il se charge de neutraliser, de démanteler et d’évacuer les munitions et les explosifs non explosés abandonnés.

Notre Mission Belgique : SEDEE

Notre mission

le Benelux : QRA

Notre Composante Air, avec les Pays-Bas, surveille en permanence l'espace aérien du Benelux. Un système et des opérateurs radar gardent constamment l’œil ouvert. Les avions de combat peuvent intercepter, contrôler et, si nécessaire, neutraliser les avions suspects dans l'espace aérien pour protéger la Belgique et ses habitants.

Notre Mission le Benelux : QRA

Notre mission

Moyen-Orient

La Belgique est présente au Moyen-Orient dans le cadre de l’Opération Desert Falcon (ODF) depuis 2014. Celle-ci s’inscrit au sein du dispositif Inherent Resolve de la coalition internationale luttant contre Daesh.

Notre Mission Moyen-Orient

Toutes les missions de la Défense

Travailler à la Défense

Plus qu'un job, une mission.

Travailler à la Défense est plus qu’un job, c'est une mission. Vous devrez parfois dépasser vos propres limites. Mais vous recevrez également beaucoup en retour : de la satisfaction, des amis pour la vie, et le sentiment de faire une différence.

Pourquoi travailler à la Défense ? Toutes les carrières

Le travail d'un ICT à la Défense est de plus en plus digitalisé.

Alexander (23), Officier ICT system engineer

Témoignages de militaires

[Missions à l'étranger] Tu approfondis tes connaissances et apprends à te rendre compte que finalement, tu ne manques de rien.

John (47), Sous-officier Artillerie

Témoignages de militaires

A partir du moment où on n'a pas confiance dans le personnel avec lequel on travaille, ça n'ira pas.

Maxime (29), Sous-officier technicien munitions

Témoignages de militaires

C’est un job dans lequel il y a des missions mais c’est avant tout une passion. Parce qu’on ne peut pas faire ça si on n’est pas passionné.

Céline (32), Médecin

Témoignages de militaires

Parmi mes collègues, j'ai essentiellement des amis.

François (25), Officier manager en maintenance

Témoignages de militaires

J'avais besoin d'un cadre et de discipline dans ma vie, ce qu'on retrouve évidemment à la Défense.

Sander (32), Sous-officier service nautique

Témoignages de militaires

Une femme à la Défense ? Cela n'a rien d'anormal.

Katrijn (26), Officier kinésithérapeute

Témoignages de militaires

Je n'aurais jamais vécu ce que j'ai vécu dans l'aviation civile par rapport à ce que j'ai vécu à la Défense.

Arnaud (38), Bachelier Avionique

Témoignages de militaires

Un moment mémorable, c’est quand j’ai été hélitreuillé du pont pour voir le navire et la mer d’en haut. Ce sont des images uniques.

Cédric (30), Gestion, approvisionnement et transport

Témoignages de militaires

Je savais que je voulais faire ça déjà depuis tout petit.

Fabrice (33), Soldat CBRN

Témoignages de militaires

La Défense offre beaucoup plus de possibilités qu'il n'y paraît à première vue.

Sara (24), Sous-officier technologue de laboratoire médical

Témoignages de militaires

Après mes études à l'Antwerp Maritime Academy j'ai choisi la Marine.

Chris (25), Officier de pont dans la Marine

Témoignages de militaires

Ma motivation, c'est la réalisation de mon rêve d'enfant, qui était de voler avec les avions de chasse.

Stephan (41), Pilote

Témoignages de militaires

La meilleure raison pour rejoindre la Marine, c'est que vous avez aussi un grand nombre d'escales qui vous permettent de voir beaucoup de pays.

Guillaume (32), Instructeur à la Marine

Témoignages de militaires

Être para-commando, c'est un grand défi, pas toujours facile, et une expérience de vie, c'est pour ça que je le fais.

Kervan (38), Instructeur de candidats Para-commandos

Témoignages de militaires

[Missions à l’étranger] C'était une super expérience d'être un maillon qui contribue à la paix dans le monde.

Sigrid (28), Contrôleur du traffic aérien

Témoignages de militaires

Pour moi, c'était un grand pas de passer de coiffeuse à militaire. Mais jusqu'ici, je n'ai aucun regret.

Wendy (33), Radar/sonar operator

Témoignages de militaires

Je n'aimerais pas être derrière un bureau. Pour des jeunes qui n'aiment pas rester en place, la Défense est idéale.

Dieter (21), Soldat d’infanterie

Témoignages de militaires

Le diplôme n'est pas le plus important. Il faut constamment se remettre à jour, apprendre et rester curieux.

Thierry (35), Civil Cyber Security Expert

Témoignages de militaires

La motivation qui m'a poussé à m'engager au sein de la Défense, c'était de pouvoir venir en aide aux gens qui en avaient besoin.

Axel (36), Technicien de communication et d’information

Témoignages de militaires

Les jeunes qui viennent à la Défense vont évidemment devoir relever un défi. Ils vont vivre des tensions et des sensations.

Pieter (28), Force Protection

Témoignages de militaires

La Défense c'est un des seuls employeurs du secteur public qui va permettre à un juriste de travailler sur des dossiers vraiment originaux, vraiment variés.

Sarah (29), Juriste civile

Témoignages de militaires

Tous les métiers que l'on retrouve dans le civil sont présents à la Défense.

Stéphane (37), Étudiant réserviste sous-officier ICT

Témoignages de militaires

Pouvoir voler avec le type d’avion sur lequel tu travailles, est toujours une super expérience et, bien sûr, une vraie motivation.

Michel (50), Assistant Technicien

Témoignages de militaires

Dans la formation de base on a appris la vie militaire avant tout. On a eu l’esprit de camaraderie qui était très présent.

Tom (19), Technicien Electromécanique (véhicules)

Témoignages de militaires

Même dans les moments durs, j'ai eu la chance d'avoir des collègues formidables.

François (25), Électro-mécanicien (véhicules)

Témoignages de militaires

J'ai fait mes études en dentisterie via la Défense.

Matthias (33), Officier dentiste

Témoignages de militaires

L'anglais est très important pour un technicien en mécanique aéronautique.

Thomas (24), Sous-officier technicien avion

Témoignages de militaires

Sous l'eau, on est seul avec son pote. Pas de bruit. On a moins de souci.

Tom (32), plongeur/démineur

Témoignages de militaires

J'ai fait des études d'ingénieur civil à l'École Royale Militaire. J'y étais payé pour étudier.

Rémi (32), Officier ingénieur civil

Témoignages de militaires

J'ai choisi la Défense pour un bon salaire, une bonne pension et de bonnes conditions de travail.

Niels (27), Pompier d’aérodrome

Témoignages de militaires

Si vous mangez bien, vous êtes aussi nettement plus heureux.

Jessica (30), Sous-officier cuisinier

Témoignages de militaires

Les para-commandos sont une famille. Une fois que tu en fais partie, tu as véritablement des camarades pour la vie.

Jurgen (30), Sous-officier Para-commando

Témoignages de militaires

[Missions à l’étranger] C'est partir découvrir d’autres cultures, d’autres nations, pour une bonne cause et vivre une expérience unique.

Rodolphe (21), Sous-Officier Renseignements

Témoignages de militaires

Je trouve très important que les civils participent à la Défense.

Frédéric (45), Réserviste officier de liaison à la Marine

Témoignages de militaires

Nous sommes payés pour étudier, ce qui est très intéressant.

Sophy (21), Officier ingénieur

Témoignages de militaires

C'est à Den Helder (Pays-Bas) que nous suivons la plus grande partie de notre formation.

Arne (24), Sous-officier transmissions maritimes

Témoignages de militaires

On voyage énormément, que ce soit dans ou en dehors du territoire belge.

Kevin (31), Ambulancier Para-commando

Témoignages de militaires

Ce n’est pas un métier, c’est une mission, même plutôt une passion. C’est un métier qu’il faut faire avec tout son cœur.

Didier (34), Bachelier en Soins Infirmiers

Témoignages de militaires

En 2013, j'ai participé à une opération anti-piraterie où nous avons mis la main sur des pirates.

Johan (28), Responsable communication et réseaux

Témoignages de militaires

On a beaucoup de responsabilités en tant que militaire.

Marvin (28), Sous-officier technicien en électronique et optronique

Témoignages de militaires

J'y ai trouvé une seconde famillie et j'en suis plus que ravi.

Florent (27), Soldat mécanicien de véhicules (autos et camions)

Témoignages de militaires

J'ai suivi une formation de mécanicien automobile. Je recherchais quelque chose de plus exclusif, et je suis arrivé à la Défense.

Kevin (24), Soldat assistant technicien avion

Témoignages de militaires

[La formation] Avec les épreuves qu'on passe ensemble, on en sort soudé et on se crée des amis pour la vie.

Loïc (23), Technicien Electromécanique (systèmes de support)

Témoignages de militaires

Ce n’est pas parce qu’on est une femme qu’on est plus faible. Il suffit juste de montrer ce qu’on sait faire.

Mégane (27), Magasinière

Témoignages de militaires

Il est important que tu puisses travailler en équipe.

Tom (25), Ambulancier Para-commando

Témoignages de militaires

Tout ce qui se trouve dans l'air et vole est une passion pour moi, et m'intéresse.

Laura (25), Officier contrôleuse de combats aériens

Témoignages de militaires

Moi, je suis civil, mais je bosse pour la Défense.

Pablo (41), Concepteur technique civil

Témoignages de militaires

On peut voir et vivre beaucoup de choses en mer.

Xavier (35), Officier technicien à la Marine

Témoignages de militaires

[Missions à l'étranger] Ça arrive d'avoir le mal du pays mais nous sommes tous là entre collègues et entre amis.

Fred (37), Sous-officier CBRN

Témoignages de militaires

C’est beaucoup plus qu’un métier. Il y a pas mal de moments dans l’année où on est militaire 24 hr sur 24.

Yannick (35), Sous-officier Infanterie

Témoignages de militaires

J'ai suivi mes études dans le civil, mais aux frais de la Défense.

Elisabeth (30), Officier médecin Composante Médicale

Témoignages de militaires

Je voulais de l'aventure et c'est une sensation que l'on trouve en mer.

Lori (21), Matelot

Témoignages de militaires

Les possibilités d'avancement sont très nombreuses ici.

Joyce (32), Sous-officier ICT

Témoignages de militaires

En tant que réserviste, on est très apprécié, les militaires savent bien que l'on fait ce travail en plus de son job normal.

Ruben (43), Médecin chirurgien réserviste

Témoignages de militaires

J'ai vraiment eu un frisson au moment où mon grand-père m'a remis mon béret.

Sam (25), Soldat canonnier

Témoignages de militaires

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Author: Jonah Leffler

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